En toute modestie, j’ai aujourd’hui réussi un exploit : faire fâcher le ministre des Transports en insistant sur l’urgence d’agir pour un secteur fondamental pour le Québec. 

Nous aimerions cependant qu’il se réveille un peu plus souvent. 

S’il veut en rencontrer des gens en colère, qu’il se rende dans les usines liées à cette industrie. 



S’il n’y a pas d’actions concrètes, notre pôle pourrait tomber entre des mains étrangères. 


