Brexit: un précédent sur le volet commercial qui sert d’exemple pour un Québec indépendant

Hier, dans sa chronique dans Le Journal de Montréal et Le Journal de Québec, Antoine Robitaille revient sur mon argumentaire concernant le #Brexit. Je le rappelle brièvement : en signant rapidement des ententes commerciales provisoires qui reproduisent celles qui étaient signées par l’Union européenne avant lui, en attendant de les renégocier de façon permanente, le Royaume-Uni démontre qu’il n’y a pas de période de vide sur ce plan quand un pays décide de gagner ou de reprendre son indépendance commerciale. ??
M. Robitaille écrit notamment :
« J’aurais cru que le Bloc s’identifierait à l’Écosse, prête à faire l’indépendance pour conserver son lien avec l’UE. »
Il ne s’agit pas ici d’encenser ou d’imiter le Brexit dans sa totalité mais d’observer que le précédent créé sur le strict volet commercial sert d’exemple pour le Québec. ⚜
Sur ce plan, une comparaison avec l’Écosse (que nous soutenons) est impossible. Pour en faire des rapprochements sur ce volet, il faudrait par exemple que le Canada sorte de l’ALÉNA et que le Québec fasse son indépendance pour y retourner.
La chronique d’Antoine Robitaille est par ailleurs fort pertinente et soulève l’importance de la question de la dépendance en temps de crise.
À lire!
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