Crise de la COVID-19 : Ottawa doit cesser les cachotteries
J’ai voté, à l’instar de mes collègues du Bloc Québécois, en faveur de ladite motion.
Le Canada est à la traîne sur les technologies quand on le compare à d’autres pays.
dernier, mais a seulement été approuvé fin septembre au Canada.
le nombre total de doses prévu.
Il y a un manque de transparence au niveau des contrats. On n’en connaît pas la valeur.
des liens d’affaires avec des compagnies pharmaceutiques qui ont déjà signé des contrats avec le gouvernement,
ou qui sont en lice pour en obtenir un.
conflits d’intérêts et de récusation pour les contrats que le gouvernement a déjà signés.
Au moins 23 conflits d’intérêts ont été déclarés depuis le moins de juin.
Au niveau du Réseau mondial d’information en santé publique (RMISP)
surveiller les maladies à travers le monde et de lancer les alertes.
effectués au sein de l’Agence en 2018 qui limitait son rôle de lanceur d’alerte de l’agence en plus de restreindre
ses observations sur le territoire canadien.
En juillet, un article du Globe and Mail a révélé la situation, ce qui a forcé le rétablissement de ce service.
aux risques de pandémie.
Une situation qui mérite d’être éclaircie.
Le comité se penchera sur la suffisance des transferts en santé.
sa part de contribution dans les dépenses en santé à 35% sans condition. Une exigence que nous appuyons.
suivant les recommandations de l’OMS.
le port du masque pour les personnes en bonne santé.
Lancée en juin dernier, l’application commandée par le gouvernement se voulait d’être la panacée en matière de traçage.
Or, rien n’indique que le succès escompté est au rendez-vous. La résistance des provinces, du Québec, des citoyennes et citoyens en raison des enjeux de confidentialité et de sécurité a limité son utilisation et donc son utilité.
Mentionnons également que la technologie utilisée exigeait un téléphone intelligent relativement récent ce qui soulève des questions en termes d’accessibilité et d’équité.
début de la pandémie.
À ce jour, nous n’avons pas d’explication satisfaisante sur les décisions qui ont mené à la destruction d’équipement de protection individuelle (EPI) qui avait été mis en place suite à la crise du SRAS.
Ce manquement de l’Agence de la santé publique à son rôle de prévention a fait en sorte que la Canada a dû dépendre des industries extérieures pour obtenir du matériel médical.
selon une analyse des contrats fédéraux signés depuis le début de la crise.