À propos de « L’État succursale : la démission politique du Québec »

« Il y a des livres dont on ne veut jamais se séparer. Celui dont je vous parle est de ceux-là. À lire et à relire. »Lise Payette

« Ce remarquable essai, qu’on se le dise, n’est pas pour les petites natures. »Louis Cornellier, Le Devoir

« Je recommande […] chaudement la lecture de ce bel ouvrage qui témoigne d’un goût pour… le bel ouvrage. »Normand Baillargeon, Les libraires

« Un livre indispensable, qui m’a beaucoup appris et qui vient combler beaucoup de lacunes dans notre connaissance de l’évolution politique du Québec depuis 1960: une histoire précise de l’effacement progressif de l’État-nation québécois, axé sur le bien commun et le développement national, au profit d’un État contrôlé et au service des intérêts privés, une sorte de privatisation par en dedans. »Roméo Bouchard

« Pour la défense de nos intérêts, nous ne pouvons pas non plus compter sur « l’État succursale » québécois, complètement inféodé à l’État fédéral et à l’élite financière internationale, comme le démontre brillamment Simon-Pierre Savard-Tremblay dans son livre L’État succursale. La démission politique au Québec (vlb éditeur). »Pierre Dubuc, L’Aut journal

« [U]n essai essentiel. »Guillaume Rousseau, L’Action

« [U]n livre audacieux qui pourrait s’imposer comme un classique du genre. » Jérôme Blanchet-Gravel, Le Huffington Post

« [C]e livre sera un impératif pour tous ceux qui s’intéressent à la sociologie ou à l’économie d’un Québec contemporain. […] Savard-Tremblay se positionne dans cet essai comme un « démondialiste » un courant qui prend de l’ampleur en Europe, et cela fait du bien de constater que certains pensent encore que l’unicité, c’est ce qui fonde un monde diversifié où chaque culture distincte vaut la peine d’être défendue. »Tania Longpré, Le Journal de Montréal

« Ses idées sont claires, sérieuses et son écriture est limpide et sans faille. »David Leroux, Argument

« Avez-vous lu le livre L’État-succursale de Simon-Pierre Savard-Tremblay, un jeune intellectuel fort intéressant qui blogue pour ce journal? C’est un ouvrage sérieux. Pas une lecture de bord de piscine. Ça diagnostique notre impuissance collective dans un monde où la politique se fait dominer, de plus en plus totalement, par le juridique et l’économique. Le juge et le financier, voilà nos dirigeants; nos ministres et députés sont autant de «représentants du service à la clientèle» qui font semblant de faire de la politique, mais qui, en réalité, administrent nos affaires à la petite semaine. »Gilles Proulx, Le Journal de Montréal

« Cet ouvrage est un cri d’alarme. Il nous lance en pleine figure que nous nous éloignons, sous le joug de l’overclass, de la démocratie. […] Il faut lire et méditer ce remarquable essai de M. Savard-Tremblay, puisqu’il est une profonde réflexion sur le monde dans lequel nous vivons, à l’heure où le souverainisme reprend du poil de la bête. Car ce que nous dit au fond l’auteur, c’est qu’il ne saurait y avoir de démocratie sans souveraineté. »Gilles Toupin, Vigile.net

« [U]ne véritable mine pour les lecteurs intéressés à mettre de la chair et des chiffres pour critiquer le gouvernement actuel, mais aussi ceux qui l’ont précédé. »Alexis Hudelot, Les Cahiers de lecture de L’Action nationale

« À tous ceux et celles qui sentent confusément que leur vote ne vaut plus rien et que les véritables forces qui dirigent la barque de l’État servent des intérêts privés plutôt que le bien commun, Simon-Pierre Savard-Tremblay offre bien peu de consolation sinon la conviction que, pour s’en sortir, il faut réinvestir le politique et le collectif.  Son essai coup de poing  »L’État succursale ou la démission politique du Québec » publié récemment chez VLB  est une douloureuse autopsie du corps anémié de l’État québécois, trente-cinq ans après le début de sa  »modernisation » au tournant des années 80. »Simon Bégin, La Vie agricole

« D’un côté, les élites croient comme jamais à la nécessaire intégration des pays dans le grand tout mondialisé. Chacune travaille à adapter sa nation aux exigences de la mondialisation en croyant par-là la moderniser. Il n’y aurait pas d’autre possibilité, aujourd’hui, que de pousser toujours plus loin le libre-échange, en s’imposant à soi-même des contraintes économiques et techniques de plus en plus nombreuses, comme si on si pliait là à une forme de rationalité supérieure, garante d’une prospérité maximale. C’est ce qu’a notamment démontré Simon-Pierre Savard-Tremblay dans son très bon ouvrage L’État succursale, paru il y a quelques semaines chez VLB. »Mathieu Bock-Côté, La Vie agricole

« La réalité existe dans l’esprit humain et nulle part ailleurs disait George Orwell.  Avec beaucoup d’adresse cérébrale Simon-Pierre Savard-Tremblay nous livre l’emplacement, les fondations, les murs, et le climat économique et géopolitique d’une adresse, celle d’un État Succursale québécois qui ne semble désormais qu’un numéro de porte, un amas de chiffres, créés par l’adresse de notre élite marchante à enflammer la cupidité. Il y beaucoup d’adresses, me direz-vous. Dans une société où toutes les idées se valent, c’en est une excellente  que celle de lire ce livre qui s’adresse à tous les Québécois… »Jenny Langevin