À propos de « Despotisme sans frontières : les ravages du nouveau libre-échange»

« Simon-Pierre Savard-Tremblay […] nous propose une stimulante et solide réflexion sur la mondialisation. […] Une lecture roborative. » Normand Baillargeon, Les libraires

« Le livre que Simon-Pierre Savard-Tremblay vient d’écrire sur le Despotisme sans frontières est une contribution à l’analyse des ravages de l’idéologie libre-échangiste.  […] On le voit, le petit livre de Simon-Pierre Savard-Tremblay touche juste. Les passages constants qu’il fait entre la logique économique et la logique politique sont pleinement justifiés. La lecture de cet ouvrage est donc hautement à recommander, que ce soit au Québec, au Canada, ou ici même, en France. » Jacques Sapir, Les crises

« Dans Despotisme sans frontières (VLB, 2018), le sociologue souverainiste Simon-Pierre Savard-Tremblay propose un énergique contrepoison à cette propagande. Partisan de la démondialisation, un « emballant projet d’agencement entre la restitution des souverainetés nationales et un internationalisme intelligent », il signe un convaincant réquisitoire contre l’idéologie de la mondialisation et du sans-frontiérisme, qu’il qualifie d’ »intrinsèquement antidémocratique. » » Louis Cornellier, Le Devoir

« Dans son dernier livre, Simon-Pierre Savard-Tremblay met en lumière de façon claire, pédagogique et fracassante les dessous du libre-échange qui représente « le dogme central de l’idéologie de la mondialisation. » Jonathan Durand-Folco, À bâbord!

[U]n très intéressant opuscule […]. Cet ouvrage est une belle réussite. La matière en elle-même est extrêmement complexe et SPST parvient à la rendre intelligible en la ramenant vers ce qu’on pourrait appeler les fondamentaux de la science politique: il pose la question du régime, il se demande qui commande, il cherche à identifier les intérêts sociaux qui tirent avantage des institutions, et ceux qui sont laissés dans les marges. En d’autres mots, l’objet de son livre est moins économique que politique, et c’est ce qui fait sa force. […] Il veut nous convaincre, et nous convainc. » Mathieu Bock-Côté, Le Journal de Montréal

« Celui-là est un coup de cœur. […] Ici Savard-Tremblay y va d’un essai méga-coup-de-poing. C’est une vraie claque sur la gueule du libre-échange. […] Je le recommande très fortement. Vous allez lire ça en quelques heures à peine. » Frédéric Bérard, Métro

« Un petit livre essentiel pour remettre les pendules à l’heure sur le libre-échange.» Simon Bégin, La Vie agricole

« Dans son essai sur libre-échange, Savard-Tremblay nous apprend beaucoup de choses sur l’évolution des différentes générations de traités. Même si son récit est parsemé de piques plus polémiques, il offre un travail de vulgarisation fort bien fait. » Éric Bédard, Onalu.ca

« Dans Les ravages du nouveau libre-échange, il dénonce la nature antidémocratique du nouveau libre-échange planétaire et tentaculaire. Il y déconstruit les dogmes de l’utopie érigée en doctrine incontestable par les fervents défenseurs de ce système, pour lequel l’être humain est d’abord un consommateur ou un producteur. Savard-Tremblay constate que la mondialisation crée une sorte de despotisme, en attribuant un pouvoir énorme aux transnationales ainsi qu’aux arbitres et experts qui sont à son service. En parallèle, elle met en œuvre des méthodes systémiques pour retirer aux collectivités les moyens d’agir sur leur devenir économique. Ce qui en fait un système foncièrement antidémocratique. » Gaétan Bélanger, Nuit blanche

« [Sa] démonstration est systématique et convaincante. Elle est celle d’un analyste au regard lucide. SPST concentre en effet ses forces là où il le faut. » Jenny Langevin, Les Cahiers de lecture de L’Action nationale

« Si vous doutiez encore des méfaits du néolibéralisme, si vous pensez que le libre-échange est la solution à tous nos problèmes, cet opuscule va remettre les pendules à l’heure. » Jacques Lanctôt, Le Journal de Montréal