L’avion parfait en temps de pandémie?
Je vous présente le A220, le seul avion à pouvoir changer 100 pour cent de son air en vol. De l’air frais se mélange continuellement à l’air en conserve pour le purifier.
En temps de pandémie, c’est un atout non-négligeable, n’est-ce pas?
Pas surprenant que les compagnies d’aviation qui ont des A220 ne font voler que ceux-là.
Le A220 est aussi l’avion le moins polluant et énergivore (et donc le plus économique à faire fonctionner) de sa catégorie.
La France a mis en place une condition à son plan de sauvetage à Air France : celui d’un plan de verdissement de sa flotte. Un programme semblable ici mènerait à des ventes assurées pour le A220.
Airbus Mirabel
y gagnerait.
Le virage vert, pour le Québec, c’est payant.
Le A220 est à l’origine une création québécoise. Il ne se limite pas à
Airbus
reposant sur des moteurs
reposant sur des moteurs
Pratt & Whitney Canada
à Longueuil, des simulateurs de vol
CAE Parc Aviation
à Ville Saint-Laurent, des cockpits de
Bombardier
de Dorval, des trains d’atterrissage
Héroux-Devtek inc.
fabriqués à Longueuil et des fuselages de cette même compagnie faits à Mirabel, et des milliers d’autres pièces et composantes.
Le grand Montréal fait partie des trois seules régions au monde où on trouve des fournisseurs aptes à offrir les composantes pour construire un avion de A à Z.
En rappel :
Mon « échange » à la Chambre des communes avec Justin Trudeau.
Qu’est-ce qu’une politique de l’aérospatiale?