Londres vient tout juste d’annoncer qu’une nouvelle entreprise publique, Great British Railways, allait désormais être en charge du réseau ferroviaire tout en sous-traitant le service aux compagnies.
La décision est certes intéressante à observer car elle « détricote maille à maille la révolution thatchérienne », mais on peut aussi la voir comme une décision rendue possible par la sortie de l’Union européenne, qui a toujours tablé de façon contraignante sur la libéralisation des services et les privatisations.
Regagner sa souveraineté, c’est reprendre le contrôle.