Comme auteur et chroniqueur, Simon-Pierre Savard-Tremblay dénonçait déjà le fossé qui s’était creusé entre le peuple et la politique. C’est pourquoi sa présence dans la circonscription est assidue et sa proximité avec les citoyennes et citoyens est grande. Simon-Pierre souhaite démocratiser encore plus la politique en faisant voter, sur une base annuelle, les résidentes et résidents de Saint-Hyacinthe—Bagot sur leurs priorités budgétaires.
Le premier juillet, dans le cadre de ce qu’on appelle communément la Fête nationale du déménagement, phénomène unique au monde, avec son équipe, il aide les déménageuses et déménageurs en leur offrant leurs bras et de l’eau, tout en leur faisant cadeau de verres réutilisables écoresponsables. Simon-Pierre place ainsi en priorité le soutien aux organismes communautaires, qui n’ont que très rarement des situations financières avantageuses, mais dont la mission est pourtant fondamentale : celle de soutenir ceux et celles qui en arrachent au quotidien, les grands oubliés du débat public, au nom de la justice sociale la plus élémentaire. Son bureau est ainsi membre de Solidarité populaire Richelieu-Yamaska et du Comité Logement’Mêle, dont la mission est la promotion du logement social.
Tout en défendant l’ouverture commerciale qui a permis au Québec de moderniser son économie et à nos PME d’accéder à de nouveaux marchés, il se bat sans relâche pour que les accords de libre-échange ne soient pas rédigés uniquement en fonction des intérêts des multinationales et que les travailleuses et travailleurs, les agricultrices et agriculteurs, la santé publique et l’environnement ne soient pas laissés pour compte au nom de l’empire de l’argent. C’est aussi pourquoi la lutte aux paradis fiscaux le passionne. Près des besoins des agricultrices et agriculteurs, il milite pour l’atteinte de l’indépendance alimentaire au Québec, estimant de surcroit que l’agriculture, parce qu’elle représente le contenu de nos réfrigérateurs, ne peut être traitée comme un marché parmi d’autres. La défense de la gestion de l’offre sera toujours non-négociable pour lui. L’environnement fait aussi partie des grandes préoccupations de Simon-Pierre, pour qui respirer un air sain et boire une eau potable sont des droits humains fondamentaux. C’est pourquoi il embrasse les orientations du Bloc québécois en faveur de la transition énergétique et la sortie des énergies fossiles. Simon-Pierre et son équipe sont également carboneutres : pour chaque km parcouru par leurs voitures, de l’argent est réinvesti en plantation d’arbres auprès de l’entreprise maskoutaine Plus d’arbres.eco.
Pour Simon-Pierre, le Québec doit impérativement devenir un pays indépendant et libre de ses choix. C’est pourquoi il s’est lancé en politique et n’abandonnera jamais ce combat jusqu’à sa réalisation. Si l’indépendance n’est pas faite, c’est qu’elle reste toujours à faire.