Saint-Hyacinthe–Bagot, le 10 mars 2020 – Le député Simon-Pierre Savard-Tremblay a été élu aujourd’hui par ses pairs à la vice-présidence du Comité permanent du commerce international (CIIT) de la Chambre de Communes. C’est avec enthousiasme, fierté et humilité que M. Savard-Tremblay a accepté cette prestigieuse responsabilité, qui s’ajoutera à ses titres de vice-président de l’association parlementaire ParlAmericas et de porte-parole du Bloc Québécois en matière de commerce international et d’industrie.

«Je voudrais d’abord remercier chaleureusement les membres du comité, et particulièrement la députée libérale Rachel Bendayan qui a proposé ma candidature, a-t-il déclaré. C’est une excellente occasion pour moi de faire avancer plusieurs dossiers importants pour le Québec et pour mes concitoyens de Saint-Hyacinthe—Bagot, et j’y mettrai toute mon ardeur.» Cette nomination reflète la confiance que le parcours et les compétences de M. Savard-Tremblay inspire à ses collègues. Titulaire d’un doctorat en socio-économie du développement de l’École des hautes études en sciences sociales de Paris, l’élu est également auteur de trois ouvrages, dont le percutant essai Despotisme sans frontières. Les ravages du nouveau libre-échange, critique du nouveau libre-échange planétaire.

Déjà des gains pour le Québec

M. Savard-Tremblay s’est fait remarquer par son travail acharné lors de la cinquantaine d’heures d’étude effectuées par le CIIT sur le projet de loi C-4 mettant en oeuvre le nouvel Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACÉUM). Il y a notamment contribué à obtenir une protection accrue pour l’industrie de l’aluminium, grâce à la mise en place d’un système de surveillance des importations.
Rappelons que le Comité permanent du commerce international a pour mandat d’étudier et de présenter des rapports sur des sujets tels que la politique de commerce international ainsi que le milieu du commerce et de l’investissement mondial. Maintenant les audiences sur l’ACÉUM terminées, plusieurs autres dossiers sont au programme, notamment la réforme de l’Organisation mondiale du commerce et l’accord de libre-échange potentiel avec le Royaume-Uni.

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